Macronavirus
Les Macronavirus sont des petits virus à ADN double brin de la famille des Patronaviridae connus pour infecter l’homme. Parmi les espèces virales proches on trouve des espèces éteintes, comme les Regeanovirus ou Thatcherovirus, et des espèces contemporaines comme les Trudeauvirus, Salvinivirus, Bolsonarovirus, ou les Trumpvirus.
Origine[modifier | modifier le code]
L’origine évolutive des Macronavirus est débattue. La première hypothèse est qu’il s’agirait d’une zoonose, c’est-à-dire d’un passage du virus à l’homme depuis un réservoir animal. Les réservoirs les plus probables au vu de l’étiologie de l’infection sont le Caniche nain (Canis lupus familiaris) ou le cougar (Puma concolor). Une autre hypothèse est que ce virus serait issu de la recherche du secteur financier français, plus précisément du Dr Attali[1], hypothèse renforcée par les importantes sommes de Crédit Impôt Recherche (CIR) versé à ce secteur et qui auraient pu financer ces recherches[2]. Cela en ferait donc le deuxième virus pandémique issu de laboratoires après celui de la grippe H1N1 dite « russe » en 1977[3].
Symptôme[modifier | modifier le code]
L’infection par le Macronavirus se caractérise par une variété de symptômes selon le niveau de tolérance de l’hôte (voir infra, Réponse de l’hôte). Dans les cas les plus bénins, le symptôme le plus répandu est une perte plus ou moins importante d’esprit critique, la personne infectée ayant tendance à croire n’importe quoi. Dans les cas plus prononcés, la personne porteuse fait preuve d’une arrogance extrême pouvant conduire à une inaptitude sociale, comme l’illustre cette vidéo tournée lors d’une conférence à Ouagadougou[4]. Les autres symptômes incluent des accès de violence, surtout si l’hôte infecté est armé. Des cas d'infection particulièrement extrêmes ont été recensés comme dans le cas d'un certain A. Benalla.
Transmission[modifier | modifier le code]
La transmission du virus se fait avant tout par voie médiatique. Sont concernés l’audiovisuel (BFM TV, Europe 1, TF1, France 2,...) et la presse écrite (Le Monde, Le Figaro, Valeurs Actuelles, L’Express...). On dénote aussi beaucoup d’infections par voie financière. Les transmissions par tracts sont beaucoup plus rares. Des cas de transmission sexuelle ont été signalés mais n’ont pas été confirmés pour le moment.
Réponse de l’organisme[modifier | modifier le code]
Comme pour toute infection, l’organisme a le choix entre deux types de réponses : soit tolérer l’infection, soit y résister. La tolérance s’accompagne de signes phénotypiques clairs tels que les costumes 3 pièces ou les SUV. La guérison est possible comme le montre les cas des patients N. Hulot et C. Villani, même si des séquelles ne sont pas à exclure. Le phénotype associé à une résistance à l’infection se caractérise lui avec l’apparition de gilets jaunes ou rouges. Si la stratégie de résistance ne permet pas toujours d’éliminer le virus, la stratégie de tolérance peut s’avérer délétère sur le long terme avec en plus des symptômes listés ci-dessus des conséquences en termes de mémoire à court et long terme.
Prévention[modifier | modifier le code]
Pour le moment, il n’existe pas de vaccin sûr et efficace contre l’infection par le Macronavirus. La recherche pharmaceutique privée a en effet jugé un tel vaccin non rentable, alors même que des millions de Français sont exposés quotidiennement au virus. Le meilleur moyen de prévention reste l’exercice quotidien d’une pensée critique.
Traitement[modifier | modifier le code]
De nombreuses firmes pharmaceutiques ont pu bénéficier du Crédit Impôt Recherche (plus de 100 millions d’euros par an pour Sanofi[5]) afin d’investir dans le développement de médicaments permettant de limiter les effets délétères de cette infection potentiellement chronique. À ce jour, on ignore où en est la recherche privée sur ce virus.
La recherche publique, quant à elle, bien qu’avec des moyens ridicules, a pu démontrer que la lecture de médias indépendants permet une guérison très rapide de l’infection, le tout sans séquelles. Ces résultats ont été qualifiés de fantaisistes par la ministre de la Recherche, qui appelle à faire confiance à l’expérience des laboratoires pharmaceutiques privés.
Épidémie en France[modifier | modifier le code]
Le Macronavirus semble être arrivé en France en 2014. Si son origine zoonotique ou anthropique reste un mystère, il n’en demeure pas moins que les premiers cas d’infections ont été signalés dans le milieu de la finance[6].
La médiatisation liée à l’élection présidentielle de 2017 a fait exploser le nombre de reproduction de base du virus avec des transmissions actives de vecteurs a priori résistants tels que Médiapart. On est ainsi passé d’un R0 proche de 1, et donc d’une extinction rapide de l’épidémie, à un R0 de plus de 10 comparable à celui de la rougeole. Ceci a conduit à une propagation spatiale de l’infection, depuis des réservoirs limités (ENA, Parti Socialiste, ministère des finances, Banque Rothschild, MEDEF) à l’ensemble du territoire français avec un fort ancrage dans l’ouest.
Au cours de cette épidémie, des « super-spreaders » ont pu être identifiés qui ont fortement contribué à cette épidémie (Alain Minc, Jacques Attali, François De Rugy, Nicolas Hulot...). La propagation de l’épidémie au sein de la sous-population des forces de l’ordre explique la majorité des décès et blessures recensés (voir Victimes).L’épidémie a déjà des conséquences économiques et sanitaires majeures avec des hôpitaux en crise[7], des retraites sabotées et des baisses d’impôts massives[8] pour les plus aisés mettant en danger l’ensemble de la cohésion nationale.
Patient zéro[modifier | modifier le code]
Le cas index de l’épidémie, c’est-à-dire la première personne porteuse, est un certain Emmanuel Macron. Sa personnalité mielleuse et mégalomane, son travail dans la finance[9], ainsi que sa rancune liée à ses échecs à répétition (notamment au concours d’entrée de l’ENS[10]), le rendaient particulièrement susceptible à l’infection. La source de celle-ci est encore débattue (voir les Origines du virus). L'infection est particulièrement violente chez cet hôte infecté ce qui le conduit à adouber et défendre contre toutes et tous un délinquant multi-récidiviste dans l'affaire Benalla, faire un usage inconsidéré de la force contre des manifestants en gilet jaune qui réclament un peu de justice sociale notamment via le rétablissement de l'impôt sur la fortune, ou encore saboter un système de retraites solidaires actuellement à l'équilibre financier au profit d'amis financiers du groupe BlackRock.
Victimes[modifier | modifier le code]
L’épidémie de Macronavirus a causé au moins trois décès répertoriés : Zineb Redouane à Marseille, Steeve Maia Caniço à Nantes et Cédric Chouviat à Paris. Elle a aussi causé de nombreuses blessures chez les hôtes au phénotype « résistant ». On dénombre ainsi 25 éborgnés, 5 mains arrachées et 321 blessures à la tête[11]. Mais les conséquences néfastes de l’épidémie sont probablement sous-estimées car beaucoup d’effets délétères associés à l’asphyxie des hôpitaux, à la destruction des retraites et du droit du travail se manifestent avec des délais pouvant aller jusqu’à la décennie.
Manipulation des hôtes[modifier | modifier le code]
Comme beaucoup d’autres parasites, le Macronavirus a tendance à modifier le comportement de son hôte afin d’assurer sa propagation. Certains des symptômes tels que l’absence d’esprit critique ou la perte de mémoire peuvent être interprétés en ce sens. Une autre caractéristique des hôtes infectés est leur comportement grégaire. Celui-ci est particulièrement visible à l’Assemblée Nationale où toute personne en voie de guérison est rapidement ostracisée.
Susceptibilité[modifier | modifier le code]
L’analyse de l’épidémie de 2017 a montré que les personnes âgées sont plus susceptibles à l’infection par le Macronavirus. La meilleure des préventions reste la discussion ou la suppression des sources de contamination (journaux télévisés notamment). Les valeurs de droite semblent aussi être fortement associées au risque d’infection. Les personnes à fortes ressources financières sont particulièrement vulnérables et les moyens de prévention classiques semblent inopérants.
Évolution virale[modifier | modifier le code]
Deux scénarios de coévolution sont possibles entre le virus et son hôte. La « sagesse traditionnelle », introduite par Théobald Smith, prédit que l’interaction devrait évoluer pour devenir avirulente. On note toutefois une augmentation de la virulence du virus, comme dans le cas du VIH. Cette hausse pourrait être liée au fait que la majorité des hôtes résistent à l’infection au lieu de la tolérer. Ce scénario correspond à ce qu’on appelle classiquement une course aux armements, les hôtes devenant de plus en plus résistant et le virus évoluant vers encore plus de virulence. Sur le long terme, cette augmentation de virulence rend l’épidémie plus susceptible de s’éteindre.
[modifier | modifier le code]
Les acteurs et actrices de la recherche publique sont mobilisés pour lutter contre les effets dévastateurs du macronavirus. Ils et elles ont massivement réagi lorsque le président du CNRS, en crise aiguë de Macronavirus, a plaidé pour une mesure relevant du darwinisme social. Après analyse pointue de la loi de programmation pluriannuelle pour la recherche, ils ont montré que le contenu de ce projet ferait dériver le système vers encore plus de précarité scientifique, matérielle et humaine. Une des actions a été de candidater massivement pour la présidence de l'HCERES, en particulier afin d'éviter que, hautement infecté par le macronavirus, M. Thierry Coulhon n'en prenne le contrôle. Enfin, toutes et tous contribuent au mouvement national de grèvilla contre le projet inique de retraites à points.
- « La dévorante ambition d’Emmanuel Macron », Le Monde.fr, (lire en ligne [archive], consulté le 1er février 2020)
- « Crédit Impôt recherche : une niche fiscale hors de contrôle » [archive], sur www.franceinter.fr, (consulté le 1er février 2020)
- Martin Furmanski, « Une brève et terrifiante histoire de virus s'échappant des laboratoires » [archive], sur Slate.fr, (consulté le 1er février 2020)
- « Burkina Faso: Macron renvoie les étudiants vers leur président pour les coupures d'électricité » [archive] (consulté le 1er février 2020)
- Yann Philippin, « Les licenciements boursiers de Sanofi donnent la migraine au gouvernement » [archive], sur Libération.fr, (consulté le 1er février 2020)
- « La moitié de la campagne d'Emmanuel Macron financée par des grands donateurs » [archive], sur France Culture, (consulté le 1er février 2020)
- « Crise de l’hôpital public : 1 200 médecins hospitaliers démissionnent de leur fonction d’encadrement », Le Monde.fr, (lire en ligne [archive], consulté le 1er février 2020)
- « 1,27 milliard pour les 0,01% les plus riches: le gros cadeau de Macron enfin chiffré » [archive], sur Marianne, (consulté le 1er février 2020)
- « Emmanuel Macron », dans Wikipédia, (lire en ligne)
- « D’où vient Emmanuel Macron ? » [archive], sur Les Echos, (consulté le 1er février 2020)
- David Dufresne, « Allô place Beauvau? C'est pour un bilan | Panoramiques » [archive], sur Mediapart (consulté le 1er février 2020)